Tribunal federal
{T 0/2}
5A 675/2007/bnm
Urteil vom 5. Februar 2008
II. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Raselli, Präsident,
Bundesrichterin Escher, Bundesrichter Meyer,
Gerichtsschreiber von Roten.
Parteien
X.________ AG,
Beschwerdeführerin,
gegen
Y.________ AG,
Beschwerdegegnerin,
vertreten durch Rechtsanwalt Markus Aeschbacher,
Gegenstand
Definitive Rechtsöffnung,
Beschwerde gegen die Verfügung des Bezirksgerichts Bülach, Einzelrichter im summarischen Verfahren des Bezirkes Bülach, vom 18. September 2007.
Sachverhalt:
A.
Gegen den Zahlungsbefehl Nr. 70720 des Betreibungsamtes B.________ erhob die X.________ AG (fortan: Beschwerdeführerin) Rechtsvorschlag. Die Y.________ AG (hiernach: Beschwerdegegnerin) stellte daraufhin das Begehren um definitive Rechtsöffnung für Fr. 169'241.-- nebst Zins und Kosten.
B.
Das Bezirksgericht Bülach erteilte die definitive Rechtsöffnung für Fr. 169'241.-- nebst Zinsen zu 10 % seit 18. April 2007 und Kosten (Verfügung vom 18. September 2007).
C.
Dem Bundesgericht beantragt die Beschwerdeführerin zur Hauptsache, es sei das Rechtsöffnungsbegehren nur für einen in Betreibung gesetzten Betrag von Fr. 20'000.-- gutzuheissen und im Übrigen die Verfügung des Bezirksgerichts Bülach aufzuheben. Sie ersucht um aufschiebende Wirkung. Die Beschwerdegegnerin schliesst auf Abweisung des Gesuchs. Der Präsident der II. zivilrechtlichen Abteilung hat der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zuerkannt (Verfügung vom 6. Dezember 2007). In der Sache sind keine Vernehmlassungen eingeholt worden.
Erwägungen:
1.
Gegen bezirksgerichtliche Rechtsöffnungsentscheide ist die Nichtigkeitsbeschwerde gemäss §§ 281 ff. ZPO/ZH an das Obergericht zulässig, es sei denn, der Entscheid unterliege dem Weiterzug an das Bundesgericht und das Bundesgericht könne den geltend gemachten Mangel frei überprüfen (§ 285 ZPO/ZH). Dieser Vorbehalt kann laut Beschluss des Obergerichts vom 5. Juli 2007 nicht anwendbar sein, solange das kantonale Prozessrecht nicht an das Bundesgerichtsgesetz angepasst ist (Art. 130 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 130 Dispositions cantonales d'exécution - 1 Les cantons édictent d'ici à l'entrée en vigueur d'un code de procédure pénale suisse les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes en matière pénale au sens des art. 80, al. 2, et 111, al. 3, y compris les dispositions nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. Si un code de procédure pénale suisse n'est pas encore entré en vigueur six ans après l'entrée en vigueur de la présente loi, le Conseil fédéral fixe, après avoir consulté les cantons, le délai dans lequel ceux-ci doivent édicter les dispositions d'exécution. |
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1 | Les cantons édictent d'ici à l'entrée en vigueur d'un code de procédure pénale suisse les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes en matière pénale au sens des art. 80, al. 2, et 111, al. 3, y compris les dispositions nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. Si un code de procédure pénale suisse n'est pas encore entré en vigueur six ans après l'entrée en vigueur de la présente loi, le Conseil fédéral fixe, après avoir consulté les cantons, le délai dans lequel ceux-ci doivent édicter les dispositions d'exécution. |
2 | Les cantons édictent d'ici à l'entrée en vigueur d'un code de procédure civile suisse les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes en matière civile au sens des art. 75, al. 2, et 111, al. 3, y compris les dispositions nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. Si un code de procédure civile suisse n'est pas encore entré en vigueur six ans après l'entrée en vigueur de la présente loi, le Conseil fédéral fixe, après avoir consulté les cantons, le délai dans lequel ceux-ci doivent édicter les dispositions d'exécution. |
3 | Les cantons édictent, dans les deux ans à compter de l'entrée en vigueur de la présente loi, les dispositions d'exécution relatives à la compétence, à l'organisation et à la procédure des autorités précédentes au sens des art. 86, al. 2 et 3, et 88, al. 2, y compris celles qui sont nécessaires pour garantir l'accès au juge prévu à l'art. 29a de la Constitution. |
4 | Jusqu'à l'adoption de leur législation d'exécution, les cantons peuvent édicter, à titre provisoire, des dispositions d'exécution sous la forme d'actes législatifs non sujets au référendum si cela est nécessaire pour respecter les délais prévus aux al. 1 à 3. |
In seinem zur Veröffentlichung bestimmten Urteil 5A 42/2007 und 5A 432/2007 vom 25. Januar 2008 hat das Bundesgericht - gestützt auf den soeben erwähnten Beschluss des Obergerichts - entschieden, dass auf direkt gegen erstinstanzliche Rechtsöffnungsentscheide des Kantons Zürich eingereichte Beschwerden, auch wenn der Streitwert Fr. 30'000.-- und mehr beträgt, mangels Ausschöpfung des kantonalen Instanzenzuges nicht eingetreten werden kann. Der erstinstanzliche Entscheid muss zuerst vor Obergericht angefochten und mit Bezug auf Rügen, die das Obergericht nicht oder mit engerer Kognition als das Bundesgericht geprüft hat, anschliessend vor Bundesgericht mitangefochten werden (E. 2, insbesondere Abs. 4).
Ungeachtet des geltend gemachten Beschwerdegrundes (Art. 95 ff

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
2.
Da im Zeitpunkt der Einreichung der vorliegenden Beschwerde zum Rechtsmittelweg noch keine veröffentlichte Rechtsprechung bestanden hat, rechtfertigt es sich, die an das Bundesgericht gerichtete Eingabe vom 16. November 2007 mitsamt Beilagen und eingeholten Akten an das Obergericht des Kantons Zürich zu überweisen, damit dieses prüft, ob es die Eingabe nachträglich als Beschwerde gegen die Verfügung des Bezirksgerichts Bülach vom 18. September 2007 betreffend Rechtsöffnung entgegennehmen kann (vgl. BGE 133 I 300 E. 2.6 S. 307).
3.
In Anbetracht der Verfahrenslage kann auf die Erhebung von Kosten verzichtet werden (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Auf die Beschwerde wird nicht eingetreten.
2.
Die Eingabe der Beschwerdeführerin vom 16. November 2007 wird mit den Beilagen und den kantonalen Akten im Sinne der Erwägungen an das Obergericht des Kantons Zürich, III. Zivilkammer, übermittelt.
3.
Es werden weder Gerichtskosten erhoben noch Parteientschädigungen zugesprochen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Bezirksgericht Bülach, Einzelrichter im summarischen Verfahren des Bezirkes Bülach, sowie dem Obergericht des Kantons Zürich, III. Zivilkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 5. Februar 2008
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Der Gerichtsschreiber:
Raselli von Roten