[AZA 7]
I 206/00 Ge

IV. Kammer

Bundesrichter Borella, Rüedi und Bundesrichterin Leuzinger;
Gerichtsschreiberin Helfenstein

Urteil vom 25. Oktober 2000

in Sachen
W.________, Beschwerdeführerin, vertreten durch Rechtsanwalt Leo R. Gehrer, Pestalozzistrasse 2, St. Gallen,

gegen
IV-Stelle des Kantons St. Gallen, Brauerstrasse 54, St. Gallen, Beschwerdegegnerin,

und
Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen, St. Gallen

A.- Die 1946 geborene W.________ ist seit 1989 als medizinische Laborantin stundenweise auf Abruf, in einem durchschnittlichen Pensum von rund 15 %, am Spital Z.________ tätig. Am 12. Dezember 1995 meldete sie sich unter Hinweis auf seit einem Auffahrunfall vom 23. August 1993 bestehende Beschwerden bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle St. Gallen holte beim Hausarzt Dr. med. B.________, Innere Medizin FMH, den Bericht vom 12. Januar 1996 ein (welchem der Austrittsbericht des PD Dr. med. E.________, Chefarzt der Rehaklinik X.________, vom 18. Dezember 1995 beilag). Zudem veranlasste sie eine polydisziplinäre Begutachtung der Versicherten durch das Zentrum für Medizinische Begutachtung (ZMB), Basel (Gutachten vom 11. Dezember 1997). Im Weitern prüfte sie die erwerblichen Verhältnisse (Auskunft des Spital Z.________ vom 5. Januar 1996) und führte eine Haushaltabklärung durch (Bericht vom 19. April 1996).
Gestützt auf diese Unterlagen ermittelte sie auf Grund der gemischten Methode einen Invaliditätsgrad von 34 % und verneinte nach Durchführung des Vorbescheidverfahrens und dabei erfolgter Einholung zusätzlicher Stellungnahmen der Dres. med. E.________ und B.________ sowie des ZMB mit Verfügung vom 1. Juli 1998 den Anspruch auf eine Invalidenrente.

B.- Beschwerdeweise liess W.________ beantragen, die angefochtene Verfügung sei vollumfänglich aufzuheben und es sei ihr eine halbe Rente der Invalidenversicherung zuzusprechen.
Nach Einreichung der Beschwerde liess sie ein Gutachten des Dr. med. S.________, Chefarzt der Klinik Y.________, vom 7. August 1998 nachreichen. Mit Entscheid vom 14. Februar 2000 wies das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen die Beschwerde ab.

C.- W.________ lässt Verwaltungsgerichtsbeschwerde führen mit dem Rechtsbegehren, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids sei ihr eine ganze, eventualiter eine halbe Invalidenrente zuzusprechen; subeventualiter sei die Sache zur weiteren Abklärung an die Vorinstanz oder die Verwaltung zurückzuweisen. Im Weiteren sei ihr eine angemessene Parteientschädigung von mindestens Fr. 5000.- zuzüglich Fr. 3630.- Gutachterkosten zuzusprechen. Sie lässt zudem neue Stellungnahmen der Dres. med. E.________ und B.________ ins Recht legen.
Die IV-Stelle schliesst auf Abweisung der Verwaltungsgerichtsbeschwerde, während sich das Bundesamt für Sozialversicherung nicht vernehmen lässt.

Das Eidg. Versicherungsgericht zieht in Erwägung:

1.- Im angefochtenen Entscheid werden die massgebenden Gesetzes- und Verordnungsbestimmungen über den Umfang des Rentenanspruchs (Art. 28 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
und 1bis
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG) und die Ermittlung des Invaliditätsgrades bei teilerwerbstätigen Versicherten mit einem Aufgabenbereich nach Art. 5 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 5 Cas particuliers - 1 L'invalidité des assurés âgés de 20 ans ou plus qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont on ne saurait exiger qu'ils exercent une telle activité est déterminée selon l'art. 8, al. 3, LPGA48.49
1    L'invalidité des assurés âgés de 20 ans ou plus qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont on ne saurait exiger qu'ils exercent une telle activité est déterminée selon l'art. 8, al. 3, LPGA48.49
2    L'invalidité des assurés âgés de moins de 20 ans qui n'exercent pas d'activité lucrative est déterminée selon l'art. 8, al. 2, LPGA.
IVG (Art. 27bis Abs. 1
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 27bis Calcul du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative à temps partiel - 1 Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants:
1    Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants:
a  le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative;
b  le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels.
2    Le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative est déterminé:
a  en extrapolant le revenu sans invalidité pour une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 %;
b  en calculant le revenu avec invalidité sur la base d'une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 % et en l'adaptant selon la capacité fonctionnelle déterminante;
c  en pondérant la perte de gain exprimée en pourcentage en fonction du taux d'occupation qu'aurait l'assuré s'il n'était pas invalide.
3    Le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels est calculé:
a  en déterminant le pourcentage que représentent les limitations dans les travaux habituels par rapport à la situation dans laquelle l'assuré serait sans invalidité;
b  en pondérant le pourcentage déterminé à la let. a en fonction de la différence entre le taux d'occupation visé à l'al. 2, let. c, et une activité lucrative exercée à plein temps.
IVV [in Verbindung mit Art. 28 Abs. 3
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG], Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG und Art. 27
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 27 - 1 Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
1    Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
2    ...170
IVV; "Gemischte Methode der Invaliditätsbemessung": BGE 125 V 146) richtig wiedergegeben.
Darauf wird verwiesen.

2.- Unbestritten und nicht zu beanstanden ist die Gewichtung von Teilerwerbstätigkeit und Führung des Mehrpersonenhaushaltes mit je 50 %. Streitig und zu prüfen ist demgegenüber der Invaliditätsgrad in beiden Bereichen. Während Vorinstanz und Verwaltung von einem Invaliditätsgrad von 34 % ausgehen (Haushalt 40 %, Erwerbstätigkeit 29 %), macht die Beschwerdeführerin einen solchen von 68 % geltend (Haushalt 52 %, Erwerbstätigkeit 85 %). Die abweichenden Invaliditätsgrade ergeben sich einerseits aus der unterschiedlichen Beurteilung der medizinischen Unterlagen, andererseits besteht Uneinigkeit bezüglich des genauen Vorgehens bei der Invaliditätsbemessung anhand der gemischten Methode.

3. Bei der Anwendung der gemischten Methode ist die Invalidität im Bereich der Haushaltsführung nach dem Betätigungsvergleich (Art. 27
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 27 - 1 Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
1    Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
2    ...170
IVV) und die Invalidität im erwerblichen Bereich nach dem Einkommensvergleich (Art. 28
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG) zu ermitteln und danach die Gesamtinvalidität nach Massgabe der zeitlichen Beanspruchung in den genannten beiden Bereichen zu berechnen.

a) Die für die Invaliditätsbemessung bei teilerwerbstätigen Hausfrauen erforderliche Aufteilung zwischen Haushaltarbeit und Erwerbstätigkeit geschieht nach folgender Regel: Der Anteil der Erwerbstätigkeit am gesamten Aufgabenbereich ergibt sich aus dem Vergleich der im betreffenden Beruf üblichen Arbeitszeit mit der von der Versicherten ohne Invalidität geleisteten Arbeitszeit, der Anteil der Hausarbeit aus der Differenz hieraus. Dabei ist die tatsächlich geleistete Arbeitszeit im Haushalt und im Beruf belanglos (ZAK 1980 S. 598 Erw. 3b). Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführerin ist es also nicht notwendig, eine bestimmte Anzahl Stunden für den Haushaltsbereich zu definieren. Denn entscheidend für den Tätigkeitsvergleich ist nicht die im Haushalt aufgewendete Zeit, sondern die Einschränkung in den nach der Rechtsprechung umschriebenen Bereichen. Es geht um das Ausmass der aus der gesundheitlichen Beeinträchtigung effektiv resultierenden Leistungsverminderung.
Im Übrigen würde die Berücksichtigung der Gesamtaktivität dazu führen, dass Versicherte, die nicht ganztägig einer Erwerbstätigkeit nachgehen, gegenüber Versicherten, die einzig mit der Haushaltführung beschäftigt sind oder die voll erwerbstätig sind, bevorzugt würden, was dem Grundsatz der Gleichbehandlung widersprechen würde.
Denn bei Versicherten, die nur den Haushalt besorgen, wird die Invaliditätsbemessung nicht nach Stundenaufwand sondern nach dem Betätigungsvergleich vorgenommen, während bei ganztägig Erwerbstätigen die Ausübung des Haushaltes überhaupt nicht berücksichtigt wird (ZAK 1992 S. 128 Erw. 1b).
In diesem Zusammenhang ist festzuhalten, dass allfällige wechselseitige, auf die Tätigkeit im jeweils anderen Bereich zurückzuführende Leistungseinbussen bei der Invaliditätsbemessung nicht zu berücksichtigen sind (BGE 125 V 159 Erw. 5c/dd).

b) Bei der Invaliditätsbemessung im Bereich der Haushaltführung ist zu beachten, dass die versicherte Person grundsätzlich verplichtet ist, ihr restliches Leistungsvermögen bestmöglich zu verwerten und ihre Arbeitskraft dort einzusetzen, wo sich die Behinderung am wenigsten auswirkt.
Eine Hausfrau hat die durch den gesundheitsbedingten Wegfall oder die Verminderung der ausserhäuslichen Erwerbstätigkeit gewonnene Zeit für die Erledigung der Aufgaben im Haushalt aufzuwenden, die sie nicht mehr in der bisher üblichen Zeit zu bewältigen vermag. Keineswegs kann die durch die Verminderung der Erwerbstätigkeit gewonnene Zeit als Freizeit beansprucht werden (unveröffentlichtes Urteil C.
vom 8. November 1993, I 407/92).

c) Bezüglich der Invalidität im erwerblichen Bereich ist schliesslich zu berücksichtigen, dass diese nach der konstanten Rechtsprechung im Rahmen der Teilerwerbstätigkeit ermittelt wird. Es geht nicht an, das Valideneinkommen bei Vollzeitbeschäftigung als Bezugsgrösse heranzuziehen.
Vielmehr ist die Einschränkung im erwerblichen Bereich bei der Festsetzung der Gesamtinvalidität gewichtet mit dem dem hypothetischen Teilzeitarbeitspensum entsprechenden Anteil in Anschlag zu bringen (BGE 125 V 154 Erw. 5a, 104 V 136 Erw. 2a; ZAK 1992 S. 128 Erw. 1b).

4.- a) Das Bundesrecht schreibt nicht vor, wie die einzelnen Beweismittel zu würdigen sind. Für das gesamte Verwaltungs- und Verwaltungsgerichtsbeschwerdeverfahren gilt der Grundsatz der freien Beweiswürdigung (Art. 40
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
BZP in Verbindung mit Art. 135
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
OG; Art. 95 Abs. 2
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
OG in Verbindung mit Art. 113
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
und 132
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
OG; Art. 85 Abs. 2 lit. c
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 85
AHVG in Verbindung mit Art. 69
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 69 Particularités du contentieux - 1 En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
1    En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
a  les décisions des offices AI cantonaux peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le tribunal des assurances du domicile de l'office concerné;
b  les décisions de l'office AI pour les assurés résidant à l'étranger peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif fédéral.424
1bis    La procédure de recours en matière de contestations portant sur des prestations de l'AI devant le tribunal cantonal des assurances est soumise à des frais judiciaires.425 Le montant des frais est fixé en fonction de la charge liée à la procédure, indépendamment de la valeur litigieuse, et doit se situer entre 200 et 1000 francs.426
2    L'al. 1bis et l'art. 85bis, al. 3, LAVS427 s'appliquent par analogie à la procédure devant le Tribunal administratif fédéral.428
3    Les jugements des tribunaux arbitraux cantonaux rendus en vertu de l'art. 27quinquies peuvent faire l'objet d'un recours auprès du Tribunal fédéral, conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral429.430
IVG; Meyer-Blaser, Rechtsprechung des Bundesgerichts zum IVG, Zürich 1997, S. 229). Danach haben Versicherungsträger und Sozialversicherungsrichter die Beweise frei, d.h. ohne Bindung an förmliche Beweisregeln, sowie umfassend und pflichtgemäss zu würdigen. Für das Beschwerdeverfahren bedeutet dies, dass der Sozialversicherungsrichter alle Beweismittel, unabhängig davon, von wem sie stammen, objektiv zu prüfen und danach zu entscheiden hat, ob die verfügbaren Unterlagen eine zuverlässige Beurteilung des streitigen Rechtsanspruches gestatten. Insbesondere darf er bei einander wiedersprechenden medizinischen Berichten den Prozess nicht erledigen, ohne das gesamte Beweismaterial zu würdigen und die Gründe anzugeben, warum er auf die eine und nicht auf die andere medizinische These abstellt. Hinsichtlich des Beweiswertes eines Arztberichtes ist also entscheidend, ob der Bericht
für die streitigen Belange umfassend ist, auf allseitigen Untersuchungen beruht, auch die geklagten Beschwerden berücksichtigt, in Kenntnis der Vorakten (Anamnese) abgegeben worden ist, in der Beurteilung der medizinischen Zusammenhänge und in der Beurteilung der medizinischen Situation einleuchtet und ob die Schlussfolgerungen des Experten begründet sind.
Ausschlaggebend für den Beweiswert ist somit weder die Herkunft eines Beweismittels noch die Bezeichnung der eingereichten oder in Auftrag gegebenen Stellungnahmen als Bericht oder Gutachten, sondern dessen Inhalt (BGE 125 V 352 Erw. 3a mit Hinweisen).

b) Auf Grund der vorliegenden Unterlagen ergibt sich bezüglich des Gesundheitszustandes der Versicherten wie auch hinsichtlich der Frage nach den erwerblichen Auswirkungen der diagnostizierten gesundheitlichen Beeinträchtigungen ein unklares Bild:

aa) So wird von den begutachtenden Ärzten übereinstimmend zwar ein postcommotionelles sowie zervikozephales Syndrom nach Schleudertrauma der Halswirbelsäule (HWS) mit Kopf- und Nackenschmerzen und neuropsychologischen Defiziten diagnostiziert, dennoch gehen die Meinungen über die Ausprägung und Intensität der Beeinträchtigungen auseinander.
So beurteilte Dr. med. H.________, ZMB, die Muskulatur des Schultergürtels als mässig verspannt, ohne umschriebene Myogelosen und ohne eigentliche Irritationszonen. Demgegenüber stellte Dr. med. S.________ bei der Weichteilpalpation multiple Triggerpunkte im Bereich des M. trapezius pars descendens, eine deutliche Irritationszone C3/C4 sowie eine Druckdolenz der paravertebralen Weichteile bis auf Höhe TH4 fest. Auch PD Dr. med. E.________ fand ein mittelgradig ausgeprägtes myofasziales Syndrom des Nackens und des Schultergürtels und machte ausdrücklich darauf aufmerksam, diese Befunde seien bei wiederholten Untersuchungen immer konsistent und reproduzierbar gewesen und nicht diffus und wechselnd wie von Dr. med. H.________ beschrieben.

bb) Mit Bezug auf die Arbeitsfähigkeit wurde im ZMB-Gutachten vom 11. Dezember 1997 festgestellt, der Versicherten könne eine Tätigkeit als Laborantin noch drei Stunden pro Tag zugemutet werden, wobei sie aber im Labor wechselnde Arbeiten ausführen und nicht drei Stunden lang ausschliesslich mikroskopieren sollte. Auch irgendeine andere, ihrem Gesundheitszustand adaptierte Tätigkeit könnte die Versicherte drei Stunden im Tag verrichten, wobei aber die jetzige als Laborantin eigentlich eine ideale, ihrem Gesundheitszustand adaptierte Beschäftigung darstelle. Im Haushalt bestehe eine Beeinträchtigung von etwa 40 %. Demgegenüber attestierte PD Dr. med. E.________ im Austrittsbericht vom 18. Dezember 1995 eine Arbeitsunfähigkeit von 100 % bis 14. Januar 1996 und gab an, anschliessend sollte die Versicherte ihre Tätigkeit als Laborantin mit einem Pensum von 10 % wieder aufnehmen; die Arbeitsunfähigkeit im Haushalt betrage 50 %. Auch in seinen weiteren Stellungnahmen vom 31. Juli 1996, 24. Januar 1997,
14. Mai 1998 sowie 29. März 2000 hielt er an der Arbeitsfähigkeit von 10 % im Labor und 50 % im Haushalt fest.
Der Hausarzt Dr. med. B.________ hielt ebenfalls eine Arbeitsfähigkeit von höchstens 10 - 15 % als Laborantin und 50 % als Hausfrau für zumutbar (Berichte vom 12. Januar 1996 und 6. April 1998). Schliesslich schätzte der Privatgutachter Dr. med. S.________ gestützt auf seine Untersuchung vom 17. Juli 1998 und seine ambulante Abklärung der Versicherten 1994 die zumutbare Arbeitsfähigkeit ebenfalls auf 10 bis 15 % als Laborantin und auf 50 % im Haushalt.

c) Damit stehen dem ZMB-Gutachten, auf das Vorinstanz und Verwaltung massgeblich abgestellt haben, verschiedene, in gleicher Weise abweichende Expertenmeinungen gegenüber.
Letztere sind indes nicht derart mangelhaft oder widersprüchlich, dass unbesehen und ohne erhebliche Zweifel auf die Ergebnisse im ZMB-Gutachten abgestellt werden könnte.
Die diesbezüglich von der Vorinstanz erhobenen Zweifel an der Beweistauglichkeit der Berichte des PD Dr. med.
E.________ und insbesondere des Gutachtens des Dr. med.
S.________ sind nicht stichhaltig, wie die Beschwerdeführerin zu Recht vorbringt. Vielmehr muss festgestellt werden, dass sich auch diese Ärzte eingehend mit der Problematik befasst haben. Demgegenüber haben sich die Ärzte des ZMB weder in ihrem Gutachten noch in den nachfolgenden Stellungnahmen mit den abweichenden Expertenmeinungen eingehend auseinandergesetzt. Es kann deshalb entgegen der Auffassung der Vorinstanz nicht zuverlässig beurteilt werden, welche der divergierenden gutachterlichen Schlussfolgerungen zutreffen.
Zusätzlich erweisen sich die verschiedenen vorgenommenen Abklärungen als unvollständig: Die medizinischen Berichte enthalten keine Ausführungen darüber, ob und allenfalls in welchem Ausmass der Versicherten Verweisungstätigkeiten zumutbar sind. Diese Frage drängt sich umso mehr auf, als ein gewisser Widerspruch darin besteht, dass die Labortätigkeit der Versicherten grosse Konzentration und zum Teil einseitige Haltung des Kopfes erfordert, gerade dies aber die Beschwerden - wie dies die begutachtenden Ärzte übereinstimmend festgestellt haben - markant verstärkt und dennoch die Laborarbeit als dem Gesundheitszustand der Versicherten ideal angepasste Tätigkeit bezeichnet wird. Im ZMB-Gutachten wird immerhin erwähnt, auch jede andere adaptierte Tätigkeit sei der Versicherten im gleichen Ausmass zumutbar; diese Einschätzung ist allerdings ungenügend, da sie nicht näher begründet wird und es damit unklar bleibt, inwiefern die ideale Tätigkeit an den Gesundheitszustand der Versicherten angepasst sein muss.
Auch die pauschalen, ebenfalls voneinander abweichenden Beurteilungen der Arbeitsfähigkeit im Haushalt erweisen sich im Hinblick auf den detaillierten Abklärungsbericht als ungenügend begründet.

d) In Anbetracht dieser Unklarheiten und Widersprüche kann der Auffassung der Vorinstanz, es bestehe eine hinreichende Grundlage zur Bestimmung des Invalideneinkommens, nicht beigepflichtet werden. Es ist deshalb eine differenzierte Stellungnahme zum Umfang der Arbeitsunfähigkeit im Haushalt und zu den erwerblichen Auswirkungen des Gesundheitsschadens notwendig. Die Sache ist an die Verwaltung zurückzuweisen, welche gestützt auf die Ergebnisse der Aktenergänzung über den Rentenanspruch neu verfügen wird.

5.- Die Beschwerdeführerin beantragt die Zusprechung einer Parteientschädigung von mindestens Fr. 5000.-, zuzüglich der angefallenen Gutachterkosten des Dr. med.
S.________ von Fr. 3180.- und des PD Dr. med. E.________ von Fr. 450.-.

a) Da die Rückweisung zu näheren Abklärungen einem Obsiegen gleichkommt, hat die Beschwerdeführerin Anspruch auf eine Parteientschädigung (Art. 159 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 69 Particularités du contentieux - 1 En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
1    En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
a  les décisions des offices AI cantonaux peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le tribunal des assurances du domicile de l'office concerné;
b  les décisions de l'office AI pour les assurés résidant à l'étranger peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif fédéral.424
1bis    La procédure de recours en matière de contestations portant sur des prestations de l'AI devant le tribunal cantonal des assurances est soumise à des frais judiciaires.425 Le montant des frais est fixé en fonction de la charge liée à la procédure, indépendamment de la valeur litigieuse, et doit se situer entre 200 et 1000 francs.426
2    L'al. 1bis et l'art. 85bis, al. 3, LAVS427 s'appliquent par analogie à la procédure devant le Tribunal administratif fédéral.428
3    Les jugements des tribunaux arbitraux cantonaux rendus en vertu de l'art. 27quinquies peuvent faire l'objet d'un recours auprès du Tribunal fédéral, conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral429.430
in Verbindung mit Art. 135
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
OG).
Die Beschwerdeführerin macht eine Parteientschädigung von mindestens Fr. 5000.- geltend. Gemäss Gesamtgerichtsbeschluss vom 3. Juni 1997 beträgt der Ansatz, den das Eidgenössische Versicherungsgericht einem anwaltlich vertretenen Versicherten zu Lasten der Gegenpartei im Normalfall zuspricht, Fr. 2500.- (Auslagen und Mehrwertsteuer inbegriffen). Bei der vorliegenden Streitsache handelt es sich nicht um eine komplizierte Angelegenheit, welche ein Abweichen vom Normalsatz rechtfertigen würde. Die vom bereits im vorinstanzlichen Verfahren tätig gewesenen Anwalt eingereichte Rechtsschrift erweist sich zudem als recht weitschweifig.

b) Gutachterkosten sind zu entschädigen, soweit diese als notwendig zu gelten haben (Art. 159 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 69 Particularités du contentieux - 1 En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
1    En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
a  les décisions des offices AI cantonaux peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le tribunal des assurances du domicile de l'office concerné;
b  les décisions de l'office AI pour les assurés résidant à l'étranger peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif fédéral.424
1bis    La procédure de recours en matière de contestations portant sur des prestations de l'AI devant le tribunal cantonal des assurances est soumise à des frais judiciaires.425 Le montant des frais est fixé en fonction de la charge liée à la procédure, indépendamment de la valeur litigieuse, et doit se situer entre 200 et 1000 francs.426
2    L'al. 1bis et l'art. 85bis, al. 3, LAVS427 s'appliquent par analogie à la procédure devant le Tribunal administratif fédéral.428
3    Les jugements des tribunaux arbitraux cantonaux rendus en vertu de l'art. 27quinquies peuvent faire l'objet d'un recours auprès du Tribunal fédéral, conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral429.430
OG; BGE 115 V 62; RKUV 2000 Nr. U 362 S. 44 Erw. 3b in fine). Da die Sache ohne die Expertise von Dr. Schneider nicht zu näheren Abklärungen zurückgewiesen worden wäre, hat die Beschwerdegegnerin die Gutachterkosten von Fr. 3180.- zu übernehmen, was die Vorinstanz bei der Verlegung der Parteientschädigung zu berücksichtigen hat. Die erneute Stellungnahme von Dr. med. E.________ erweist sich hingegen als nicht notwendig, weshalb diese Kosten von der Beschwerdegegnerin nicht zu übernehmen sind.
Demnach erkennt das Eidg. Versicherungsgericht:

I. In teilweiser Gutheissung der Verwaltungsgerichtsbeschwerde
werden der Entscheid des Versicherungsgerichts
des Kantons St. Gallen vom 14. Februar 2000 und
die Verfügung vom 1. Juli 1998 aufgehoben, und es wird
die Sache an die IV-Stelle des Kantons St. Gallen
zurückgewiesen, damit diese, nach erfolgter Abklärung
im Sinne der Erwägungen, über den Rentenanspruch neu
verfüge.

II. Es werden keine Gerichtskosten erhoben.
III. Die IV-Stelle des Kantons St. Gallen hat der Beschwerdeführerin für das Verfahren vor dem Eidgenössischen Versicherungsgericht eine Parteientschädigung von

Fr. 2500.- (einschliesslich Mehrwertsteuer) zu bezahlen.

IV. Das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen wird über eine Parteientschädigung für das kantonale Verfahren entsprechend dem Ausgang des letztinstanzlichen

Prozesses im Sinne der Erwägungen zu befinden haben.

V. Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht
des Kantons St. Gallen und dem Bundesamt für
Sozialversicherung zugestellt.
Luzern, 25. Oktober 2000

Im Namen des
Eidgenössischen Versicherungsgerichts
Der Präsident der IV. Kammer:

Die Gerichtsschreiberin:
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : I 206/00
Date : 25 octobre 2000
Publié : 25 octobre 2000
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : [AZA 7] I 206/00 Ge IV. Kammer Bundesrichter Borella, Rüedi und Bundesrichterin


Répertoire des lois
LAI: 5 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 5 Cas particuliers - 1 L'invalidité des assurés âgés de 20 ans ou plus qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont on ne saurait exiger qu'ils exercent une telle activité est déterminée selon l'art. 8, al. 3, LPGA48.49
1    L'invalidité des assurés âgés de 20 ans ou plus qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont on ne saurait exiger qu'ils exercent une telle activité est déterminée selon l'art. 8, al. 3, LPGA48.49
2    L'invalidité des assurés âgés de moins de 20 ans qui n'exercent pas d'activité lucrative est déterminée selon l'art. 8, al. 2, LPGA.
28 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
69
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 69 Particularités du contentieux - 1 En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
1    En dérogation aux art. 52 et 58 LPGA422,
a  les décisions des offices AI cantonaux peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le tribunal des assurances du domicile de l'office concerné;
b  les décisions de l'office AI pour les assurés résidant à l'étranger peuvent directement faire l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif fédéral.424
1bis    La procédure de recours en matière de contestations portant sur des prestations de l'AI devant le tribunal cantonal des assurances est soumise à des frais judiciaires.425 Le montant des frais est fixé en fonction de la charge liée à la procédure, indépendamment de la valeur litigieuse, et doit se situer entre 200 et 1000 francs.426
2    L'al. 1bis et l'art. 85bis, al. 3, LAVS427 s'appliquent par analogie à la procédure devant le Tribunal administratif fédéral.428
3    Les jugements des tribunaux arbitraux cantonaux rendus en vertu de l'art. 27quinquies peuvent faire l'objet d'un recours auprès du Tribunal fédéral, conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral429.430
LAVS: 85
SR 831.10 Loi fédérale du 20 décembre 1946 sur l'assurance-vieillesse et survivants (LAVS)
LAVS Art. 85
OJ: 95  113  132  135  159
PCF: 40
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale
PCF Art. 40 - Le juge apprécie les preuves selon sa libre conviction. Il prend en considération l'attitude des parties au cours du procès, par exemple le défaut d'obtempérer à une convocation personnelle, le refus de répondre à une question du juge ou de produire des moyens de preuve requis.
RAI: 27 
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 27 - 1 Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
1    Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches.
2    ...170
27bis
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 27bis Calcul du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative à temps partiel - 1 Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants:
1    Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants:
a  le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative;
b  le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels.
2    Le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative est déterminé:
a  en extrapolant le revenu sans invalidité pour une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 %;
b  en calculant le revenu avec invalidité sur la base d'une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 % et en l'adaptant selon la capacité fonctionnelle déterminante;
c  en pondérant la perte de gain exprimée en pourcentage en fonction du taux d'occupation qu'aurait l'assuré s'il n'était pas invalide.
3    Le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels est calculé:
a  en déterminant le pourcentage que représentent les limitations dans les travaux habituels par rapport à la situation dans laquelle l'assuré serait sans invalidité;
b  en pondérant le pourcentage déterminé à la let. a en fonction de la différence entre le taux d'occupation visé à l'al. 2, let. c, et une activité lucrative exercée à plein temps.
Répertoire ATF
104-V-135 • 115-V-62 • 125-V-146 • 125-V-351
Weitere Urteile ab 2000
I_206/00 • I_407/92
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
ménage • autorité inférieure • état de santé • tribunal des assurances • office ai • durée et horaire de travail • tribunal fédéral des assurances • 1995 • femme au foyer • moyen de preuve • avocat • taxe sur la valeur ajoutée • laboratoire • office fédéral des assurances sociales • question • doute • jour • décision • calcul • demi-rente
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